PMSI MCO

Codage de la malnutrition, dénutrition (consigne de codage 2020)

Mise à jour 3 septembre 2020 : « Consignes et définitions en lien avec la dénutrition« 

Les consignes de codage de la malnutrition, dénutrition dans le guide méthodologique MCO sont entièrement réécrites en 2020, en lien avec la publication par l’HAS et la Fédération Française de Nutrition en novembre 2019 des recommandations de bonne pratique pour le diagnostic de la dénutrition de l’enfant et de l’adulte.

Ces consignes concernent tous les champs PMSI.

Le diagnostic de la dénutrition nécessite la présence d’au moins 1 critère phénotypique et 1 critère étiologique.

Ce diagnostic est un préalable obligatoire avant de juger de sa sévérité. Il repose exclusivement sur des critères non biologiques.

Ces critères sont résumés ci-dessous.

Le diagnostic de la dénutrition chez les patients âgés de moins de 18 ans

Les critères phénotypiques sont les suivants :
# perte de poids ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10 % en 6 mois ou ≥ 10 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie
# IMC < courbe IOTF 18,5
# stagnation pondérale aboutissant à un poids situé 2 couloirs en dessous du couloir habituel de l’enfant (courbe de poids)
# réduction de la masse et/ou de la fonction musculaires (lorsque les normes et/ou les outils sont disponibles)

Les critères étiologiques sont les suivants :
# réduction de la prise alimentaire ≥ 50 % pendant plus d’1 semaine, ou toute réduction des apports pendant plus de 2 semaines par rapport :
## à la consommation alimentaire habituelle quantifiée, ou aux besoins protéino-énergétiques estimés
## absorption réduite (malabsorption/maldigestion)
## situation d’agression (hypercatabolisme protéique avec ou sans syndrome inflammatoire) :
pathologie aiguë ou
pathologie chronique évolutive ou
pathologie maligne évolutive

Les critères de dénutrition modérée chez les patients âgés de moins de 18 ans

# courbe IOTF 17 < IMC < courbe IOTF 18,5
# perte de poids ≥ 5 % et ≤ 10 % en 1 mois ou ≥ 10 % et ≤ 15 % en 6 mois par rapport au poids habituel avant le début de la maladie
# stagnation pondérale aboutissant à un poids situé entre 2 et 3 couloirs en dessous du couloir habituel.

L’observation d’un seul critère de dénutrition modérée suffit pour poser le diagnostic de dénutrition modérée dès lors que la dénutrition est présente (1 caractère phénotypique + 1 caractère étiologique).

Les critères de dénutrition sévère chez les patients âgés de moins de 18 ans

# IMC ≤ courbe IOTF 17
# perte de poids > 10 % en 1 mois ou > 15 % en 6 mois par rapport au poids habituel avant le début de la maladie
# stagnation pondérale aboutissant à un poids situé au moins 3 couloirs (représentant 3 écarttypes) en dessous du couloir habituel
# infléchissement statural (avec perte d’au moins un couloir par rapport à la taille habituelle).

L’observation d’un seul critère de dénutrition sévère suffit à qualifier la dénutrition de sévère dès lors que la dénutrition est présente (1 caractère étiologique + 1 caractère phénotypique).

Le diagnostic de la dénutrition chez l’adulte (≥ 18 ans et < 70 ans)

Les critères phénotypiques sont les suivants :
# perte de poids ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10 % en 6 mois ou ≥ 10 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie
# IMC < 18,5 kg/m2 ;
# réduction quantifiée de la masse et/ou de la fonction musculaires.

Les critères étiologiques sont les suivants :
# réduction de la prise alimentaire ≥ 50 % pendant plus d’1 semaine, ou toute réduction des
apports pendant plus de 2 semaines par rapport :
## à la consommation alimentaire habituelle quantifiée,
## ou aux besoins protéino-énergétiques estimés ;
# absorption réduite (malabsorption/maldigestion) ;
# situation d’agression (hypercatabolisme protéique avec ou sans syndrome inflammatoire) :
## pathologie aiguë ou
## pathologie chronique évolutive ou
## pathologie maligne évolutive.

Les critères de dénutrition modérée chez l’adulte (≥ 18 ans et < 70 ans)

# 17 < IMC < 18,5 kg/m2
# perte de poids ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10 % en 6 mois ou ≥ 10 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie
# mesure de l’albuminémie par immunonéphélémétrie ou immunoturbidimétrie >30 g/L et < 35 g/L.

L’observation d’un seul critère de dénutrition modérée suffit à qualifier la dénutrition de modérée dès lors que la dénutrition est présente (1 caractère étiologique + 1 caractère phénotypique).

Les critères de dénutrition sévère chez l’adulte (≥ 18 ans et < 70 ans)

# IMC ≤ 17 kg/m2
# perte de poids ≥ 10 % en 1 mois ou ≥ 15 % en 6 mois ou ≥ 15 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie
# mesure de l’albuminémie par immunonéphélémétrie ou immunoturbidimétrie ≤ 30g/L.

L’observation d’un seul critère de dénutrition sévère suffit à qualifier la dénutrition de sévère dès lors que la dénutrition est présente (1 caractère étiologique + 1 caractère phénotypique).

Lors de l’observation simultanée d’un seul critère de dénutrition sévère et d’un ou plusieurs critères de dénutrition modérée, il est recommandé de poser un diagnostic de dénutrition sévère.

Le diagnostic de la dénutrition chez la personne âgée ≥ 70 ans repose sur les recommandations HAS 2007, intitulées « Stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée »

Les critères diagnostic de la dénutrition chez la personnes âgée ≥ 70 ans repose sur la présence d’un ou de plusieurs critères ci-dessous (l’interprétation du dosage doit tenir compte de l’état inflammatoire, évalué avec le dosage de la protéine C-réactive) :

# perte de poids ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10 % en 6 mois
# IMC <21 kg/m2
# albuminémie <35 g/l
# MNA global <17

La dénutrition sévère chez la personnes âgée ≥ 70 ans

# perte de poids ≥ 10 % en 1 mois ou ≥ 15 % en 6 mois
# IMC <18 kg/m2
# albuminémie <30 g/l

L’emploi des codes E40 à E46 doit se fonder sur ces critères (en pratique E43, E44 et E46).

Source : Guide méthodologique PMSI MCO 2020

Codage des chutes à répétition R29.6 (consigne de codage 2020)

Le codage des chutes à répétition (R29.6) est réservé aux situations correspondant à la définition suivante :
chutes à répétition en raison du grand âge ou d’autres problèmes de santé mal définis.

La chute est définie comme le fait de se retrouver involontairement sur le sol ou dans une position de niveau inférieur par rapport à sa position de départ.

Le caractère répétitif des chutes est considéré à partir du moment où la personne a fait au moins deux chutes dans l’année qui précède le recueil d’information.

Exemple 1

La chute à répétition est le DP d’un séjour motivé par la chute, séjour au cours duquel aucune lésion (conséquence de la chute) n’est traitée et aucune cause n’est trouvée.

Il peut donc s’agir :
• d’une chute constatée répétitive (au moins deux chutes dans l’année), le DP est la chute R29.6 ;
• d’un bilan de chutes répétitives à la recherche d’une pathologie causale et sans que cette cause soit trouvée, le DP est la chute R29.6

Exemple 2

La notion de chute à répétition peut être un DAS car elle marque une fragilité du patient dans les cas pour lesquels elle ne sera pas le DP :
• Dans les cas où la chute à répétition est à l’origine de lésion, la lésion étant le DP du séjour, et seulement si aucune causalité n’est retrouvée, le DAS est la chute R29.6.

Source : Guide méthodologique PMSI MCO 2020 (version provisoire)

Evolutions du format des RSF A en 2020

Le format des RSF A (début de facture) change en 2020 avec les 2 modifications suivantes :

# Ajout de la variable « code postal du lieu de résidence du patient »
Sur 5 positions à la place du filler (lui aussi sur 5 positions) qui suivait la date de sortie
Information disponible dans les RSS/RSA lorsqu’il y a une admission mais pas connue pour les passages aux urgences (ATU)
Information obligatoire

# Ajout du numéro d’identification permanent du patient (IPP)
Sur 20 positions
A la fin du RSF A
Permettra de chaîner les DATEXP (MRC, DMI intraGHS, …) au patient

Modifications valables pour les 4 établissements ex-OQN des 4 champs PMSI.

Ces modifications entrent en vigueur au début d’année PMSI 2020 de chaque champ PMSI.

Source : Formats PMSI 2020

Les modèles de prédiction des réadmissions en MCO en 2019

Nous signalons un intéressant papier de synthèse sur l’état de l’art quant à la modélisation des réadmissions hospitalières.

Quelques informations à retenir :

 A ce jour, pas de modèle unique et fiable pour repérer les patients à haut risque de ré-hospitalisation

 Pathologies où le taux le plus important de réadmissions a été observé : insuffisance cardiaque, les pneumonies, les hépatopathies et l’infarctus du myocarde à sa phase aiguë

 La distinction entre réadmissions programmées et inopinées affecte les résultats des modèles mais le PMSI permet mal de repérer cette distinction.

 Modèles les plus cités dans la littérature pour prédire le risque de réadmission : modèles de régression logistique, modèles de Cox, modèles à hasard proportionnel

 Les tentatives plus récentes de modélisation du risque de réadmission aboutissent à une c statistique de 0.75 à 0.92 pour certaines populations (NB : c statistique = analyse de la discrimination d’un test, c’est-à-dire de sa capacité par rapport au simple hasard à séparer les sujets)

 Principaux facteurs qui influencent les réadmissions : antécédents des patients (ex : plusieurs hospitalisations l’année précédent un séjour, admission par les urgences), durées de séjour, comorbidités

 Les modèles de deep learning (apprentissage profond) sont de plus en plus utilisés et obtiennent généralement de meilleurs résultats que les autres types de modèle de régression classiques

Ce papier est produit par Kaduceo, société spécialisée en analyse de données de santé. Une riche bibliographie l’accompagne.

Source : article « Etat de l’art : Prédiction des réadmissions hospitalières » (Kaduceo – 2019)

Les nouveautés du PMSI MCO en 2020

Mise à jour Janvier 2020 : la liste exhaustive et à jour des nouveautés 2020 du PMSI MCO est disponible ici.

Lors d’une session d’actualité qui s’est tenue le 7 novembre, l’ATIH a présenté aux établissements les nouveautés attendues du PMSI 2020 par champ PMSI.

Précision : à cette heure, ces informations sont uniquement consultatives, certaines de ces nouveautés pouvant in fine ne pas entrer en vigueur en 2020 ou sous une forme modifiée. Seules les communications officielles (notices ATIH, publications JO, guide méthodologique, manuel de groupage, …) feront foi.

Nous nous limitons aux nouveautés pour lesquelles des informations précises sont communiquées et nous renvoyons au support de cette réunion (lien en Source) pour plus d’informations sur les autres travaux en cours.

Nouveauté MCO #1 – Passage des actes thérapeutiques sur les muscles, tendons et tissus mous de l’épaule sous arthroscopie de 08C40 « Arthroscopies : autre localisation » à 08C58 « Arthroscopies de l’épaule »

Les 6 actes thérapeutiques sur les muscles, tendons et tissus mous de l’épaule sous arthroscopie sont transférés de la liste A-279 à la liste A-358 (ils deviennent ainsi classants dans la racine 08C58 plutôt que dans la 08C40)

Les 6 actes thérapeutiques :
MEQC001 : Exploration de la bourse séreuse subacromiale, par arthroscopie
MEQC002 : Exploration de l’articulation de l’épaule, par arthroscopie
MJDC001 : Ténodèse et/ou résection de la portion articulaire du muscle long biceps brachial, par arthroscopie
MJEC001 : Réinsertion ou suture d’un tendon de la coiffe des rotateurs de l’épaule, par arthroscopie

MJEC002 : Réinsertion et/ou suture de plusieurs tendons de la coiffe des rotateurs de l’épaule, par arthroscopie
MJFC001 : Exérèse de calcification intratendineuse de la coiffe des rotateurs de l’épaule, par arthroscopie

Nouveauté MCO #2 – Cholécystectomie et ablation de lithiases intra biliaires par voie endoscopique en deux temps, au cours du même séjour

Lorsqu’un séjour associe une cholécystectomie (liste A-056 avec les 2 actes de cholécystectomie : HMFA007 et HMFC004) à l’un des 19 actes endoscopiques thérapeutiques listés ci-dessous, le séjour sera orienté vers la racine 07C12 « Autres interventions sur les voies biliaires sauf cholécystectomies isolées », sinon (donc si le séjour a bien un acte de la liste A-056 mais aucun des 19 actes endoscopiques thérapeutiques de la liste ci-dessous), le séjour sera orienté, comme aujourd’hui, dans la racine 07C13 « Cholécystectomies sans exploration de la voie biliaire principale pour affections aigües » s’il a au moins 1 diagnostic de la liste D-066 « Affection biliopancréatique aigüe » parmi ses DP et DAS sauf ses DR et sinon dans la racine 07C14 « Cholécystectomies sans exploration de la voie biliaire principale à l’exception des affections aigües »

Liste des 19 actes endoscopiques thérapeutiques :
HMAE002 Dilatation rétrograde de conduit biliaire, par œso-gastro-duodénoscopie
HMAE001 Dilatation de l’ampoule hépatopancréatique [du sphincter d’Oddi], par œso-gastro-duodénoscopie
HMPE001 Section du versant biliaire du muscle sphincter de l’ampoule hépatopancréatique [sphincter d’Oddi], par œsogastro-duodénoscopie [Sphinctérotomie biliaire endoscopique]

HMLE002 Pose d’une endoprothèse biliaire, par œso-gastro-duodénoscopie
HMLE003 Pose de plusieurs endoprothèses biliaires, par œso-gastro-duodénoscopie
HMLH001 Pose d’une endoprothèse biliaire, par œso-gastro-duodénoscopie et par voie transcutanée avec guidage échographique et/ou radiologique
HMGE001 Ablation d’endoprothèse biliaire et/ou pancréatique, par œso-gastro-duodénoscopie
HMKE001 Changement d’une endoprothèse biliaire, par œso-gastro-duodénoscopie
HMKE002 Changement de plusieurs endoprothèses biliaires, par œso-gastro-duodénoscopie
HMGE002 Ablation de calcul de la voie biliaire principale, par œso-gastro-duodénoscopie
HMGH001 Ablation de calcul de la voie biliaire principale, par œso-gastro-duodénoscopie et par voie transcutanée avec guidage échographique et/ou radiologique
HMNE001 Lithotritie mécanique des conduits biliaires, par œso-gastro-duodénoscopie
HMNE002 Lithotritie des conduits biliaires par ondes de choc, par cholangioscopie rétrograde
HNAE001 Dilatation du conduit pancréatique, par œso-gastro-duodénoscopie
HNLE001 Pose d’une endoprothèse du conduit pancréatique, par œso-gastro-duodénoscopie
HNKE001 Changement d’une endoprothèse du conduit pancréatique, par œso-gastro-duodénoscopie
HNGE001 Ablation de calcul pancréatique, par œso-gastro-duodénoscopie
HNCE001 Anastomose entre un faux kyste du pancréas et l’estomac ou le duodénum, par œso-gastro-duodénoscopie sans guidage [Kystogastrostomie ou kystoduodénostomie endoscopique]
HNCJ001 Anastomose entre une cavité collectée du pancréas et l’estomac ou le duodénum, par œso-gastroduodénoscopie avec guidage échoendoscopique

Nouveauté MCO #3 – Nouveau recueil dans un fichier DATEXP pour les DMI appartenant à la liste dite intra-GHS

Depuis avril 2016, pour 4 catégories homogènes de dispositifs médicaux nécessitant une évaluation :
- les défibrillateurs cardiaques implantables avec sonde endocavitaire (simple, double et triple chambre) ;
- les défibrillateurs cardiaques implantables sans sonde endocavitaire ;
- les stents intracrâniens utilisés dans l’angioplastie des sténoses athéromateuses ;
- les valves cardiaques chirurgicales biologiques.
les seules DMI en question qui peuvent être achetés et utilisés par les établissements de santé sont inscrits dans la liste « intra-GHS » (dernière version : Janvier 2018). Plus d’informations ici.

A partir du 1er janvier 2020, ces DMI intra-GHS devront être obligatoirement recueillis, sans valorisation, dans un fichier DATEXP avec les 3 informations suivantes : code, date de pose, nombre d’unités implantées

Nouveauté MCO #4 –  Gradation des prises en charge ambulatoires

Il s’agit de remplacer la circulaire frontière en clarifiant la gradation des prises en charge ambulatoires.et permettre ainsi la levée du moratoire sur les contrôles T2A pour les HDJ de médecine, prévue en mars 2020.

Cela aura pour conséquence :
# de nouvelles conditions de facturation des GHS de 0 nuit (voir ci-dessous)
# le recueil de 4 nouvelles variables (voir ci-dessous)
# la suppression de plusieurs prestations facturées en externe : AP2/ FPI/ SE5/ SE6

La classification pour les séjours 0 nuit en GHM M ou Z ne changera pas pour la CMD 28 « Séances », la CMD15 « Nouveau-nés », en cas de présence d’un code d’anesthésie complémentaire, en cas de présence d’un acte classant, en cas de mode de sortie Transfert, en cas de Décès, pour les UM d’UHCD (autorisation 7A et 7B), en cas de soins palliatifs (GHM 23Z02T), en cas de présence du DAS  Z53.2 « Acte non effectué par décision du sujet pour des raisons autres et non précisées ».

Dans les autres cas, il sera tenu compte de 4 nouvelles variables :
# Contexte patient codé 0 ou 1
# Surveillance particulière (=  nécessité de mobiliser des moyens supplémentaires pour la prise en charge du patient) codée 0 ou 1
# Administration d’un produit de la Réserve Hospitalière (RH) codée 0 ou 1
# Nombre d’interventions TOTALES (= Prestations intellectuelles, actes (nomenclaturés ou non)) codé selon 3 modalités >3, = 3, <3

Si le séjour médical de 0 nuit a les 3 variables Contexte, Surveillance particulière et Administration d’un produit de la RH codées à 0 et la variable Nombre d’interventions TOTALES codée à 3, le séjour sera groupé dans un nouveau GHS dit « GHS intermédiaire ».

Si le séjour médical de 0 nuit a les 3 variables Contexte, Surveillance particulière et Administration d’un produit de la RH codées à 0 et la variable Nombre d’interventions TOTALES codée < 3, le séjour sera à facturer en externe.

Dans les autres cas, le séjour sera groupé dans le GHS inchangé.

Source : Support session Actualités DIM PMSI 2020 (ATIH)